Bénédicte Monville
Bénédicte Monville est élue au conseil municipal de Melun et à l’Agglomération Melun-Val de Seine depuis 2014. Elle y préside les groupes de la gauche et des écologistes Bien Vivre à Melun (BVAM) et Pour Une Communauté Écologiste et Sociale (PUCES).
Membre d’Europe Écologie Les Verts (EELV) depuis 2011, dont elle fut secrétaire départementale pour la Seine-et-Marne, elle est aussi membre fondatrice de la Confédération Pour une Écologie Populaire et Sociale (PEPS) et milite dans plusieurs associations de défense de l’environnement et des droits humains.
Elle se présente pour la première fois à une élection en 2012. Elle est la candidate EELV de la première circonscription de Seine-et-Marne.
Aux élections municipales de 2014 et 2020, elle conduit la liste citoyenne Bien Vivre à Melun, soutenue par EELV et le PG d’abord et, par l’ensemble de la gauche et des écologistes ensuite. En 2020, la liste accède au deuxième tour en triangulaire avec 30,27% des suffrages.
Élue conseillère régionale d’Île de France sur la liste des écologistes en 2015, Bénédicte Monville siège pendant toute la durée de son mandat dans le groupe des élu·e·s écologistes et mène un travail d’opposition exigeant, salué par ses pairs. En 2017, elle est candidate écologiste aux élections législatives avec pour suppléante Fatiya Ammad-Mothay (La France Insoumise).
Aux élections départementales 2021, elle se présente en binôme avec Julien Guérin (Gauche Républicaine et Socialiste), conseiller municipal et communautaire de Vaux-Le-Pénil, président du groupe Vaux-Le-Pénil, notre bien commun. Le binôme accède au deuxième tour après avoir éliminé la députée LREM sortante et le Rassemblement National.
Bénédicte Monville milite pour une écologie populaire, féministe, antiraciste et des politiques qui articulent les questions écologique et sociale. Elle dénonce les inégalités territoriales, l’abandon des services publics et les politiques climaticides d’aménagement du territoire qui nous enferment dans un mode de développement contradictoire avec le bien-être des habitant·e·s.
Contre les politiques néolibérales de marchandisation, Bénédicte Monville défend un modèle social juste et redistributif où l’accès aux services publics et aux biens communs fondamentaux est garanti à toutes et tous. Elle s’engage pour la défense des droits sociaux et humains.
Installée à Melun depuis 14 ans, elle se bat au quotidien pour la préservation des terres agricoles, des bois et de la forêts, la transition écologique de l’agriculture, une gestion durable des déchets et la protection de nos ressources en eau.
Engagée dans la lutte contre les discriminations, elle milite contre le sexisme, le racisme et pour un accueil digne des réfugié·e·s et des personnes migrantes en France.
Au plan international, elle défend l’avènement de relations de coopération et de solidarité en lieu et place des relations de concurrence et de spoliation qui déstabilisent le monde et y génèrent de nombreux conflits meurtriers.
Enseignante, socio-anthropologue et mère de trois enfants, Bénédicte Monville a vécu plusieurs années à l’étranger (Italie, Etats-Unis) avant de revenir s’installer en France à Melun fin 2008.
Jean Morlais
Jean Morlais est élu au conseil municipal de Saint-Fargeau-Ponthierry depuis 2020. Délégué à la Prévention et à la Gestion des Risques naturels et des Inondations dans un premier temps, il est devenu Adjoint à la transition écologique et aux mobilités en succession de Zine-Eddine M’Jati.
Outre cette nouvelle délégation et ses délégations précédentes, il est en charge de la biodiversité, des paysages, et des déchets.
Suppléant aux élections législatives de 1981, il ne s’est représenté à des élections que pour les municipales de 2020 dans une liste très composite et s’affichant sans étiquette après s’être installé à Saint-Fargeau-Ponthierry en 2014.
Adhérent à Europe Écologie Les Verts (EÉLV), il a commencé à militer au Mouvement d’Écologie Politique (MÉP), l’ancêtre d’EÉLV, en 1980. Il a été élu à 2 reprises au Conseil Fédéral, l’instance parlementaire d’EÉLV. Il participe à des commissions nationales du parti (environnement, post-croissance, économie). Il a été à l’origine d’un groupe de travail « Imaginer une économie écologiste » qui a débouché sur la création de la commission post-croissance.
Il y défend le besoin de concevoir une philosophie économique qui mette en avant les contraintes écologiques et substitue l’économie capitaliste par une économie démocratique et respectant un plancher social plus juste.
Il milite dans différentes associations environnementales nationales et locales. Il a notamment présidé pendant 2 ans l’Association de Défense de l’Environnement de Moulignon-Auxonnettes-Jonville (ADEMAJ), sise à Saint-Fargeau-Ponthierry, qu’il a fait adhérer à France Nature Environnement (FNE 77).
Informaticien à la retraite depuis 2013, il a 3 enfants.